Philippe Geluck

Pouvez-vous vous présenter ?
Je suis né à Bruxelles en 1954, ça vous donne une idée de mon âge !
J’ai d’abord été comédien pendant dix ans, puis animateur télé et radio.
En 1983, j’ai inventé Le Chat pour le journal belge Le Soir dont il deviendra la mascotte avant de s’internationaliser.
Comment avez-vous connu l’AFAF et l’ataxie de Friedreich ?
Frédéric Dard, l’inventeur de San Antonio, était un de mes amis. Avec nos personnages, nous avons vécu la même aventure. On ne fait qu’un avec nos « inventions » : Frédéric avec San Antonio, et moi avec le Chat.
C’est au cours d’une célébration de son œuvre dans sa ville natale de Saint-Chef, en juin dernier, que j’ai rencontré Solange Petit. Elle m’a parlé de l’ataxie de Friedreich, dont elle est atteinte, et m’a demandé si je voulais bien devenir parrain de l’association.
Qu’est-ce qui vous a motivé pour devenir parrain de notre association ?
Solange et moi avons sympathisé lors de notre discussion, et j’ai toujours aimé les nobles causes. Même si quand elle m’a demandé d’être parrain, j’ai eu un instant de réflexion, car je suis très sollicité, je n’ai pas pu résister à cet appel. Alors, je lui ai dit oui de tout mon cœur !
Etes-vous parrain d’autres associations ? Y a-t-il un point commun entre elles ?
Notre société est en souffrance médicale et sociale. Les belles causes sont innombrables. C’est pour cela que je suis parrain d’une cinquantaine d’associations en Belgique et en France : handicap mental, recherche pédiatrique sur le cancer, Mon cartable connecté pour permettre aux enfants hospitalisés de suivre leur scolarité, personnes sans abri …
Comment voyez-vous votre parrainage ?
En réalisant pour l’association des dessins du Chat qu’elle pourraitvendre pour récolter des fonds pour la recherche (sérigraphies, objets porteurs de ces dessins …). Il y a des collectionneurs au grand cœur qui s’engagent à acheter des œuvres au-dessus de leur prix pour soutenir la cause.
Et pour commencer, en dessinant la couverture du numéro de janvier 2025 de la revue Espoir, dessin envoyé aussi pour adresser les vœux de l’AFAF.
Emmanuel Mouret

Pouvez-vous vous présenter ?
Bonjour, je suis cinéaste, je réalise des films pour le cinéma dont j’ai écrit le scénario. Mes films mettent souvent en scène des questions amoureuses, des questions de couples et des problèmes moraux qui en découlent. Je ne fais pas de films à messages, mais plutôt un cinéma qui s’amuse à interroger nos usages, nos idées, nos conceptions, et peut-être surtout à ne pas juger trop vite mes personnages qui peuvent souvent sembler maladroits et égoïstes… et qui le sont peut-être.
Comment avez-vous connu l’AFAF et l’ataxie de Friedreich ?
Par une amie dont les filles sont touchées par cette ataxie.
Qu’est-ce qui vous a motivé pour devenir parrain de notre association ?
Le combat que mène cette amie et son compagnon, mais surtout la belle humeur qui les habite et qui donne envie de les suivre.
Êtes-vous parrain d’autres associations ?
Je ne suis parrain que de l’AFAF.
Comment voyez-vous votre parrainage ?
Je me sens honoré d’être parrain mais surtout rempli d’admiration pour les parents et les personnes souffrant de cette ataxie. Je ne sais pas si j’en suis digne, mais je vais m’efforcer de l’être.
Mathieu Vidard

Pouvez-vous vous présenter ?
Animateur et producteur radio et télé (France Inter et France 5) d’émissions scientifiques et d’écologie.
Comment avez-vous connu l’AFAF et l’ataxie de Friedreich ?
Par ma maman qui était atteinte de cette maladie.
Qu’est-ce qui vous a motivé pour devenir parrain de notre association ?
La volonté de consacrer du temps à cette maladie méconnue afin de sensibiliser le plus de monde possible.
Êtes-vous parrain d’autres associations ?
Non
Comment voyez-vous votre “parrainage” ?
J’aimerais aider l’association à toucher un plus large public à travers les rencontres et les réseaux sociaux afin de pouvoir faire avancer la connaissance et la recherche autour de l’ataxie.

Avancer ensemble,
C’est aussi pouvoir compter sur votre aide !